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CHAPITRE 1 ; UN PASSE PAS SI TRANQUIL « Les rêves d'enfants s'envolent avec le temps; mais ton regards de gamin, tu peux le garder si tu es malin . »

Je croyais qu'avec le temps les souvenirs s'estompaient. Je me suis trompée, car 20 on eut beau s'écouler depuis que j'ai commencé à comprendre la vie qui m'entourait les souvenirs sont resté présent en moi. Je suis née à l'orphelina m'a-t-on dit. Je veux bien le croire même si j'en doutes, mais j'ai été abandonnée à la naissance donc oui ma naissance fut à l'orphelina. Ce n'est pas le meilleur endroit pour que des enfants grandissent bien. Mais j'ai grandis et moi je trouve que j'ai bien grandis. Depuis mon plus jeune âge je n'ai jamais eu de problème pour me faire des amis. C'est bizarre mais je n'étais jamais du genre timide et à ne pas aborder les gens. Franche et souriante j'allais droit au but. Au Kent, mon orphelina j'étais bien apprécié mais pas par les filles. J'ai pas trop compris pourquoi, mais en même temps jouer à la poupée pendant que les garçons jouaient au foot c'était pas mon truc. Moi je fonçais sur le ballon tous simplement. Tous mes amis étaient des garçons et j'étais la plus jeune. Et donc la plus chouchouté; j'avais beau être moi aussi une fille, je passais avant les autres. Si une des filles de l'orphelina m'embetait les garçons venaient de mon coté. J'ai toujours eu de la chance. Il y avait aussi Victor, Victor c'est le garçon qui m'a "élevé" comme un grand frère. Il était le genre de garçon que la bande de garçon suivait, un peu le leader. Mais celui qui fait le dur mais qui s'en fout de la réputation. Il me protégeait à m'a toujours défendu à mon souvenir. J'étais sa petite soeur de coeur; et il était toujours la pour moi.

▬ Victor je peux venir avec vous?
▬ NAN!
▬ Pourquoiiiii? Je suis pas une gamine; j'ai huit ans...j'ai le droit de venir...et puis...et puis si je viens pas je pars toute seule de mon coté...
▬...Bon d'accord tu viens mais tu restes près de moi

C'était pour sortir, car on sortait en douce de l'orphleina pour aller trainer dans les rues. Les enfants étaient bien trop sage mais Victor avait réussit à en trouvé quelques uns qui aimaient s'amuser et faire leur petits rebelles. J'aimais être avec eux, j'étais la seule fille mais je me sentais forte. J'étais bien avec eux. Et puis Victor était toujours là. mais peu à peu, je le vis changer de regard sur moi. Il semblait bien plus jaloux lorsque les garçons de la ville venait me parler; il prennait enocre plus soin de moi. j'avais neuf ans, et mon grand frère je l'aimais. Je l'aimais beaucoup même. Ce fut mon premier amoureux et donc le premier garçon que j'ai embrassé; il avait onze ans, j'en avais neuf. J'étais une gamine mais lui il m'aimait. C'était pas le genre couple , nan on était trop jeune. On était juste toujorus entrain de joeur ensemble dans la ville; on trainait comme des gosses abandonnés, ce que nous étions d'ailleurs. On pensait que la vie serait toujours pareil, une joie éternel. Mais c'était croire à l'impossible. lorsque j'atteignis mes quatorze ans, la directrice de l'orphelina à Kent vint me voir pour m'apprendre qu'on m'avait trouvé une famille. Une jolie famille aimante; une famille qui n'avait aucun enfant. Je partais dans quelques jours pour New-York. New-York, la grande ville. New-york, la ville qui dort jamais. New-York en Amérique. New-York à des milliers de kilomètre de Kent, à des milliers kilomètres de l'orphelina, des mes amis, de Victor.

CHAPITRE 2 ; L'ADOLESCENCE; UNE VIE SI COURTE « Moi est composé de trois lettres M-O-I, il désigne sa propre personne, ainsi que Je , ou Moi même. Personnellement , j'aime bien ce mot . »

Les semaines qui suivirent mon arrivé en Amérique furent réellement douloureuses. La vie à Kent me manquait, ne plus sortir comme une petite délinquante, porter des tenues chères et de filles; devoirs arreter de jouer au garçon manqué. Devoir avoir une meilleure éducation et aller dans une école privée. J'étais un peu le Oliver Twist dans mon école, je m'en fichais j'ai réussit à me faire de nouveau pleins d'amis. Mais ma vie en Angleterre me manquait. J'écrivis des tas de lettre à Victor, j'en écrivais aussi à mes amis, certains me répondaient et disaient que Victor recevait mes lettres. Je savais que mon "grand frère", "mon amoureux" n'aimait pas écrire ni vivre à des kilomètre. Mais bien vite je compris qu'il était passé à autre chose, qu'il m'avait oublié et que je devais faire de même. Ce fut la mort dans l'âme que je débutais ma nouvelle vie. Pourtant très vite je retouvis le sourire. J'ai toujours été du genre inscoucient et à toujours croquer la vie à pleine dent. Ma famille avait énormément d'argent. J'ai mis énormément de temps à m'habituer au fait d'aller dans des magasins et ne pas regarder le prix des choses que j'achetais. A l'orphelina on le donnais les vêtement des filles plus grande que moi tous simplement. Au lycée j'étais doué, élève modèle je me suis rangé du bon coté. J'ai arreté la fumette, que j'avais débuté avec Victor à treize ans. Je suis devenue une fille modèle, féminine, souriante. Pas le genre de fille toujours en jupe et du genre hyper glamour; j'ai toujours préféré les jeans et les tenues décontracte mais j'ai vite compris que mon atout résidais dans mon corps et ma personnalité et non pas dans les vêtements. Je n'ai jamais totalement accepté le fait de dépendre ainsi de l'immense fortune de mes parents car au fond j'ai tout de même grandis dans les rues à Kent, habbiél en vêtement de garçon, les cheveux court et courant dans les flaques d'eau avec les garçons. Je n'aime pas ces bourges qui ont pleins de d'argent et croient pouvoir acheter tous ce qu'ils veulent; je ne veux pas être comme ça et je ne veux pas être vu comme eux. Ne croyez pas que je n'aime pas mes parents adoptif, d'ailleurs je les considèrent désormais comme mes parents. Mais ils m'ont éloigné de mes amis, de ma famille qu'était tous ces garçons, il m'ont éloigné de mon Angleterre et c'est pour ça que je leur en veux.

CHAPITRE 2 ; ET MAINTENANT ON VIT DANS LE PRESENT « Il aurait suffit d'un au revoir, d'un simple regard pas trop tard
et tout aurait changé, il n'y aurait pas tout ce passé »

Il s'en ai écoulé du temps depuis que je suis arrivé à New-York, et oui je ne suis plus ce petit bout de fille rebelle qui voulait croire que la vie est tout simplement moche mais belle en même temps. J'ai commencé des études de médecine, et je travails en temps qu'interne dans un hôpital à New-York; ce n'est pas vraiment pour avoir de l'argent car pour ça je peux compter sur Dann et Ingrid mes parents adoptif. Nan c'est pour m'occuper, pour montrer que je peux travailler malgré l'argent que j'ai, je veux gagner de l'argent seule, je veux aussi aider les gens et même si j'étudie la médecine pour plus tard je veux aider dès maintenant. Je vis dans un appartement luxueux je le sais j'ai de la chance; il se situe dans un quartier bohème chic de New-York, les prix sont pas donné mais c'est un ancien atelir de peintre que j'ai rettaper en studio, il est tous simplement sublime, j'en suis amoureuse. Je l'ai refais à mon style, du vintage mixé avec du bohème et de moderne. J'aime cette ambiance. Bref, en effet si je suis amoureuse de mon appart on peut se dire " son pauvre mec doit passer en second" pas à ce point cette une image que je sois amoureuse de mon studio. Mais pour mon copain...et bien j'en ai pas. J'ai eu quelques histoires d'amour c'ets vrai, oui mais rien de bien sérieux je ne cherche pas vraiment le grand amour, je me consacre à mes étude car oui je veux aller loin. Le reste on verra plus tard j'ai grandement le temps. Je viens d'avoir mon diplôme de première année alors pour fêter àa on a fait une ultra grande soirée, alcool, drogue ouai je sais c'est pas très sérieux mais on a beau être des étudients en médecine on sait se lacher aussi. Et puis j'ai décidé de partir en vacance, mes parents me payent une super croisière de deux mois sur un bateau immense et luxueux. Bon j'aurais pu me la payer mais c'est l'intention qui compte. Au début ma mère voulait que j'y aille avec des potes, comme elle le disait une jeune fille blonde, aux yeux bleu, mince, jolie au visage de poupée ect s'était risqué. mais mince j'ai habité à Kent quoi. Bref j'ai donc laisser l'anxiété de ma mère, la cool attitude de mon père et tous mes amis dès e lendemain de notre fête pour prendre un vol direction le côte Ouest et de là embarqué à bords de ce magnifique paquebot, pour deux mois de rêve entre mer et escales dans des lieux paradisiaque. Attention les vacances d'une blonde, totalement barge, délurée et gamine commencent pour de bon, finit le stress de l'années finit les urgences et les nuits de gardes; bonjours le soleil, la mer, et la liberté.

prénom : Nevada âge :17 ans comment as-tu atterri ici ?je ne sais plus xD code du réglement : avatar : Emilie de Ravin le mot de la fin : Sublime et original comme toujours (: