Nom et prénom(s) : Alena. Tamara Blackwood
Date et lieu de naissance : 22 mars 1989 à Londres en Angleterre
Lieu d'habitation : New York
Statut civil : Célibataire babe (aa)
Orientation sexuelle : Hétéro, mais aime bien séduire les femmes pour s'amuser
Caractère : PETILLANTE-AMUSANTE-FOLLE-SEDUCTRICE-INTELLIGENTE-UN PEU TROP CURIEUSE-CHARMANTE-CHARISMATIQUE-ADORABLE-GARCE AUX PREMIERS ABORDS-SOURIANTE-PROVOCATRICE-RESPECTUEUSE (TOUT DEPEND AVEC QUI)-SOCIABLE-FÊTARDE-TÊTUE-IMPREVISIBLE-IMPULSIVE-BOUDEUSE-ASSEZ SENSIBLE-PROTECTRICE-BONNE AMIE-ATTENTIVE-COMPREHENSIVE-ATTENTIONNEE-FRANCHE-PASSIONNEE-CREATIVE

« Papa, regarde le beau dessin que z'ai fais ! »

Ne faisant même pas attention à ma présence, il continuait à marcher en rond au téléphone. Alors je sortis. Je sentais bien que je le dérangeais alors, je préférais aller voir ma mère.

« MAMAN, MAMAN, regarde mon beau dessin que z'ai fais ! »

Elle me regarda, jeta un petit coup d'oeil à mon dessin puis replongea dans son livre qu'elle était en train de lire sur une chaise longue, au bord de la piscine. Ma mère me fit vite comprendre que je la dérangeais aussi. Alors je partis, en soupirant. Je partis en courant dans ma chambre en boudant. La femme de ménage était là et mon côté maladroit me joua des tours. Je me pris le seau d'eau sur la tête en glissant sur le parquet dont elle venait de passer un coup de serpillère puis voilà que je me mange la porte d'entrée en pleine figure. Je me suis mise à pleurer, vous savez, je n'avais que quatre ans, alors à chaque fois que je me cognais ou que je me faisais un petit bobo de rien du tout, je pleurais. La femme de ménage râla quelques secondes mais quand elle vit que j'avais vraiment mal, elle vînt me relever. La femme de ménage alla prévenir ma mère qui était la plus proche.

« Madame, votre fille s'est fait très mal »

Ma mère posa son livre, retira ses lunettes de soleil et avec un sourire, elle répondit tout simplement : « Oh vous savez, elle s'en remettra ! »

Sarah, notre femme de ménage fut outré en entendant ces paroles. C'était quand même grave de peu se préoccuper de son propre enfant. Faîtes des gosses ! Ce fut donc Sarh qui me ramassa et m'emmena dans la salle de bain. Elle me mit sur le plan de travail et se mit à chercher la trousse de secours.

« Pourquoi papa et maman m'aime pas ? »

Sarah ne me répondis pas. Elle mit un peu d'alcool sur une compresse pour désinfecter une petite plaie. Elle me sourit. Sarah était jeune, très belle et elle avait besoin d'argent pour payer ses études, c'était pour cela qu'autrefois, Sarah travaillait chez nous. Après qu'elle m'est en quelque sorte soigné, je partis à toute de jambe dans ma chambre. Je m'enfermais. Je me mis dans un coin de ma chambre où par terre il y avait deux coussins et pleins de peluche. Elle m'entouraient. J'avais un gros et grand ours, je me mis donc sur lui puis je pensais en serrant contre moi ma peluche qui était un chien que j'avais appelé doudou. Moi, je suis Tamara. J'étais née dans un milieu très aisé voir même très riche. Mon père appartenait à la famille Blackwood et ma mère était une fille d'un Levingston. Deux familles qui avaient de grandes sommes d'argent. Deux familles qui étaient reconnus dans tout le monde, dans chaque continent. Le mariage de mon père et de ma mère était un mariage forçé. Ils ne s'aimaient pas et ça se sentait. Mais ils étaient obligés. La famille Blackwood a toujours eu de gros différents avec la famille Levingston mais ils ont voulus enterrer la hache de guerre et ils se sont mis d'accord, en échange d'une paix totale entre les deux familles, la famille Blackwood devait unir leur fils aîné avec la cadette de la famille Levingston et tout deux devaient avoir au moins un bébé. Bien sûr les deux jeunes gens n'étaient pas d'accord mais il furent contraint d'accepter car sinon, leur héritage allait être compromit. Ils ne s'aimaient pas et ils ont du, après leur mariage, avoir un bébé. Et le bébé, ce fut moi. Je suis née un 22 mars 1989 à Londres, en Angleterre. Ma mère ne voulait pas de moi, comme mon père. Ils ne voulaient pas que leur union aboutisseà un enfant, puisqu'ils se détestaient. Ce fut ma grand mère maternel qui choisit mon prénom. Alena Tamara, voilà comment on me nomma. Depuis mon plus jeune âge, je n'ai jamais été chouchouté. Du moins, mes parents m'offraient des cadeaux histoire que je leur foute la paix. Je souriais pour faire bonne figure mais au fond de moi, je n'étais pas heureuse. Je voulais partir, m'enfuir. Mes parents me détestaient, ils ne prêtaient aucune attenton à moi. Vous savez, quand on a que quatre petite malheureuse année, on se pose beaucoup de question et on s'imagine des tas de choses.

Depuis mes dix ans, mes parents ne faisaient que de me trimballer de pays en pays, de villes en villes. Certes cela avait un avantage mais quand vous demandez ne serait-ce qu'une toute petite chose, et qu'on vous répond méchament, ou encore qu'on vous ignore ou bien quand on vous dit de vous la fermer c'est pas vraiment génial. Alors imaginez bien comment sont mes voyages avec mes parents...Vous devriez me plaindre. Mon père était un grand homme. C'était un homme d'affaire, il avait implanté dans tout les pays ses entreprises. Il avait aussi une entreprise multinationale. Quant à ma mère, c'était avant tout une danseuse étoile mais elle arrêté et, elle est devenu l'assistante de mon père malgré leur haine qu'ils éprouvent pour chacun d'eux. Ce fut seulement à mes 16 ans que j'ai pus profiter d'un vrai foyer. Mes parents avaient décidés d'emménager à New York, plus précisement à Manhattan. Un endroit complètement fou. Un endroit qui m'a plut dès le premier regard. Nous habitions dans une grande villa et mes parents continuaient leur show business. Quant à moi, j'allais au lycée de New York. J'ai vite plus aux autres lycéens. C'était l'école qui me permettait de m'évader de la souffrance que je ressentais depuis ma plus tendre enfance. Puis au fur et à mesure de l'année, je m'étais fait des amis. Ca je n'en manquais pas. Mais ceux qui comptait réellement pour moi, c'était Alice, ma meilleure amie, Jeremy et Nolan, mais deux autres meilleurs amis.

« Mademoiselle Blackwood, vous avez un B+ »

Madame Parker, ma prof' de philosophie nous rendîmes un devoir qui remonte à la semain dernière. J'étais plutôt fière de moi, j'étais plutôt brillante à l'école. Alice qui était à la table à côté de moi, m'appela.

« Tama' ! T'y vas ce soir ? »

Je la regardais. J'attendis que Madame Parker passe pour pouvoir lui répondre.

« Je sais pas, çe me dis rien. Nolan et Jeremy y vont eux aussi ? »

« Normalement oui. bon on verra ça au déjeuné. »

Alice me fit un petit clin d'oeil en souriant. Toute l'heure du cours, je l'avais passé à regarder par la fenêtre et à penser. J'étais comme absente. Présente physiquement mais mon esprit n'était pas là. Je n'avais même pas entendu la sonnerie, ce dut être Alice qui me réveilla. On marchait côte à côte. On parlait de tout et n'importe quoi. Mais mon regard s'égara très vite. Quelque chose, du moins, quelqu'un avait attiré mon regard. Mais cet inconnu disparut dans la foule. Alice et moi, on se rendit au déjeuné. On prit la même table que d'habitude. Peut de temps après qu'on se soit installé, Nolan et Jeremy nous rejoignI. Tout les trois se mirent à discuter, sauf moi. Mon regard fut de nouveau attiré par l'inconnu de tout à l'heure. Il se trouvait en face de moi, à la table de derrière. Je le regardais, il me regardais. Je fini par me levai et je partis à sa rencontre. Mes trois amis n'avaient pas tout de suite percutés.

« Salut toi. Je peux m'asseoire ? »
« Comment refuser de la compagnie auprès d'une charmante demoiselle ? »

Je lui souris. Il me sourit. On se croirait dans un film à l'américaine.

« Moi c'est Tamara mais tu peux m'appeler Tama' ! Et toi ? »
« C'est un jolie prénom. Moi c'est Hayden. »
« Il me semble que tu es nouveau, non ? »
« Excellente déduction », dit il en rigolant
« Oui, je sais, je suis très surprenante ! Je voulais savoir...Ca te dirait d'aller à une soirée ce soir. Une fille du lycée organise une soirée chez elle, ça te permettra peut être de rencontrer des gens. »

Il hésita un petit moment avant de me répondre : « Avec plaisir. Par contre...Hm...tu voudras bien m'y accompagner vu que je ne sais pas où c'est »
« Il n'y a pas de soucis. Ecoute, rejoins moi au parc de Manhattan »
« Ca marche, donc à ce soir »

Je lui souris avant de quitter sa table et de rejoindre mes amis qui, avaient attentivement regardé la scène. Je n'eus même pas le temps de rejoindre ma table, qu'une horde de filles envahirent la table d'Hayden, soit dit en passant, du nouveau. Une fois que je m'étais assise, Alice me mettait des coups de coudes et me lancait des regards suspects. Jeremy et Nolan, quant à eux, me regardait avec un air complètement débile. Je finis par éclater de rire. La sonnerie retentit. Le déjeuné était fini, il fallait à présent regagner les cours en silence.

Le soir de la fameuse fête était enfin arrivé. J'étais allé chez Alice après les cours. On s'était préparé. On s'était fait toute belle. Vous me direz, à 16 ans on ne pense qu'à faire la fête ou encore aux garçons pour les filles. J'avais mis une robe noir assez moulante. Mes cheveux blonds et longs étaient restés détachés. C'était à peine si j'avais mis du maquillage. Juste de quoi souligner mes yeux et un peu de gloss. Il était vingt-et-une heure, l'heure où la soirée commencait. Nolan et Jeremy nous avait rejoint. Nous avions fait un bout de chemin ensemble mais quand nous étions passé par le parc de Manhattan, d'un sourire je leur dis : « Je vous laisse, je vous rejoins à la soirée »
Alice et Nolan me firent 'ok' et continuèrent leur chemin. Mais Jeremy se planta devant et me regarda. « T'attends le mec du déjeuné ? »
« Oui et alors ? »
« Tama', je le sens pas ce type. Tu sais à qeul point j'ai un don pour savoir si les gens sont biens ou mals. »
« Arrête tes films et surtout de jouer les superman. Je suis assez grande pour savoir et me défendre. Puis t'en fais pas. Aller file. »

Je déposais un bisous sur la joue de Jeremy avant de le quitter et de m'asseoire sur un banc. J'attendais et je finis par croire que le nouveau m'avait 'posé un lapin'. Enfin cette expression ne convenait pas du tout puisque ce n'était pas vraiment un rendez vous entre nous, mais bon...Le ciel sombre et étoilé attira mon regard, si bien que je ne m'étais même pas aperçus de la présence d'Hayden. Car oui, il avait fini par arriver.
« Tama' ? »
« Hayden ! Excuse moi, je t'avais pas vu...Bon on y va ?! »

Hayden me sourit et côte à côté, on partit. Pendant tout le trajet, on avait parlé. On avait fait plus ample connaissance. J'avais tellement appris sur lui en une petite heure. Le contact était bien passé. Et à la soirée, ce fut exactement la même chose que sur le trajet de la soirée. On avait parlé puis rigolé. Quelque fois, on allait danser, tout les deux. Je ne m'étais même pas préoccupé de mes amis, je les avais un peu oublié. Mon attention était complètement concentré sur Hayden. Je ne voyais que lui. Dès le début où j'avais croisé son regard, je ressentais envers son égard une attirance. Et au fur et à mesure du temps que je passais avec lui, quelques petits sentiments se sont développés. Depuis quelques mois, j'avais ignoré mes amis et je savais que c'était mal. Cela ne faisait que quelques mois que je sortais avec Hayden mais il me manquait quelque chose. J'ignorais Jeremy, Nolan et Alice, et ils faisaient de même. Ce qui m'attristait mais j'avais choisi mon 'clan', si je puis dire. J'avais complètement changé. Hayden avait eu le temps de se faire des amis et en un rien de temps, il devînt le garçon le plus populaire du lycée. Il avait totalement changé lui aussi. Ca me chagrinait quelque peu mais je l'aimais. Jusqu'à un soir où ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Après une soirée, on s'était retrouvé dans sa voiture, il avait un peu trop bu. Il commença à m'embrasser et il décrocha mon soutien-gorge. Je le repoussais. « Mais qu'est ce que tu fais ? » Il me regardait avec son rire niait et me dit en m'embrassant dans le cou : « Arrête Tama', je sais très bien que t'en meurs d'envie ! » En essayant de me débattres je lui dis : « Arrête tes conneries, t'as trop bu » « Mais non, je suis cline, aller laisse toi faire » « Arrête toi, Hayden stop je t'ai dis ! »

Mais je ne pus me débattre bien longtemps, Hayden était plus fort que moi. En même temps c'était un sportif et comparé à moi, il était Hulk. Alors je me laissais faire, les larmes aux yeux et je ressentais une souffrance pas possible. Ce fut pour moi ma première fois et je regrettais. Cela dura quinze petites minutes mais pour moi, ce fut des heures interminable. Une fois qu'il eut fini, Hayden me déposa chez moi. Il ne m'avait pas parlé sur le trajet, il n'a fait que sourire. Je ne lui prêtais pas attention et je repensais surtout à ce que m'avais dit Jeremy...

Je traversais le seuil de la porte d'entrée avec une maanche de mon t-shirt à moité déchiré, le peu de maquillage que j'avais mis avait coulé et j'avais les larmes aux yeux. Mes parents ne firent pas attention à moi. Je montais dans ma chambre en pleurant. Je m'avachis sur mon lit. En dessous de celui ci, j'avais caché mon doudou de quand j'étais petite. Je le pris et je le serrais contre moi. Je le serrais très fort. C'était pour moi un moyen de me rassurer, de me calmer. Les larmes ne cessaient de couler. Je regardais en direction de mon bureau. Au dessus, il y avait un cadre en bois où à l'intérieur il y avait de la mousse. J'avais accroché des tas de photos. Je les regardais. Une en particulière me fit mourire de rire. Sur cette photo se trouvait Jeremy, Alice et Nolan. Ca m'avait rappelé qu'ils me manquaient plus que tout. Je pris mon portable. J'avais envie de les appeler. Un en particulier, Jeremy. Je décidais d'aller le voir. Il était tard mais je m'en foutais. Je le voulais. Je passais par ma fenêtre. Il ne m'avait fallu que quelques minutes pour atteindre sa maison. Je pris des petites pierres et je commençais à les lançer sur la fenêtre de chambre de Jeremy. Oui, j'avais vu ça dans un film, alors je voulais tester si ça marchait. Et cette méthode n'était pas fausse. Une lumière s'alluma dans sa chambre. Il ouvrrit sa fenêtre. « Tama' ?! »
« Non, non c'est un extraterestre »
« Qu'est ce que tu fous là ? »
« Jerem', j'ai besoin de te parler, je peux monter ? »
« Si tu veux... »

Bien sûr, là encore je m'étais en oeuvre de ce que j'avais vu dans un autre film. En un rien temps, j'étais arrivé dans sa chambre. Il m'avait tourné le dos. Je m'approchais de lui et posa ma main sur son épaule. « Jerem', regarde moi, je suis désolé » Il se tourna et me regarda. « Tama' mais qu'est ce qui t'es arrivé ? » « Je... » Comment lui dire ? Je savais qu'il allait s'énerver même si nous étions en froid. Je m'assis sur son lit. Je baissais la tête, honteuse, les larmes commençèrent à couler. « Tama' répond moi franchement » Il s'assit à son tour à mes côté. « Je me suis faîte violé » Il se leva d'un geste brusque. « QUOI ?! TU TE FOUS DE MA GUEULE LA NON ?! » Il se passa la main dans les cheveux. « Tu crois que je me fous de ta gueule ? Sérieux, je rigole pas avec ça... » Un long silence s'interposa entre nous. Je savais que Jeremy, mon meilleur ami, ressentait plus que de l'amitié à mon égard. Un frisson me parcouru le corps. J'étais gêné de lui demander si je pouvais dormir chez lui. « Jerem'....je peux dormir ici, s'il te plait. Tu dois me prendre pour une gamine mais j'ai peur et j'ai pas envie de retourner chez moi et de voir les têtes de con de mes parents... » Il se retourna et sourit à ma remarque qui n'était pas tout à fait fausse...« Oué, bien sûr Tama' que tu peux. Et t'es pas du tout une gamine. Sinon ça va toi ? Tu.. » « T'en fais pas pour moi » Je lui souris. Jeremy vînt me rejoindre. Il s'allongea et je fis de même. Juste à côté de lui. Je posais ma tête sur son torse et je l'enlacais. Ca présence me faisait du bien. Je me sentais si bien... Il passa sa main dans mes cheveux et on commença à papoter comme si il ne s'était rien passé. Je m'étais endormi et lui aussi. J'aimerais que ce moment soit interminable, je me sentais tellement bien et forte à ses côtés. J'avais passé les vacances d'été avec lui, on été partis en France, à Paris, tout les deux. Et il s'en est passé des choses pendant deux mois. Je me rappelerais de ce moment toute ma vie... On était allé visiter la Tour Eiffel. Une fois arrivé en haut, nous avions pris des tas de photos puis on a commençé à parler. Il m'avait fait rire à parler en Français et à taper la causette avec un français. « J'aime ce voyage ! » lui déclarais je. « Moi aussi, c'est tellement bien de se retrouver tout les deux comme avant... » « Oué » « Tama'...Je sais que tu vas me trouver stupide mais j'ai besoin de te dire ces deux mots, ces septs lettres...Tama' Je t'aime et je comprendrais que toi non... » Je tournais mon regard en sa direction. Il rougissait. Ce qui me fait rire. « Tu vois, tu me trouve stupide » Je le regardais. Doucement je lui caressai ses cheveux puis délicatement, sa joue. Je me mordis la lèvre et je l'embrassais. Oui je l'avais fais, j'avais enmbrassé mon meilleur ami. Mais depuis un petit moment, je le voulais, je voulais moi aussi lui avouer mes sentiments mais il s'avouera qu'il a été plus vite que moi. Je détachais mes lèvres des siennes et un sourire illumina mon visage. « Jeremy, j'amais je ne t'ai trouvé stupide. Je t'aime aussi . » Et il sourit à son tour avant de m'enbrasser de nouveau. Oui je l'aimais, et ça, c'était assez bizzare de ressentir de l'amour pour son meilleur ami mais que voulez vous que je vous dise ?! J'avais passé un été merveilleux à ces côtés.

L'heure de la rentrée avait sonné. J'avais repris mes habitudes d'avant. Du moins, j'avais quitté Hayden et je m'étais excusé auprès de mes amis pour mon attitude. J'étais redevenu heureuse, je sortais avec Jeremy. J'avais aussi pri ma vengeance sur mon ex petit copain qui m'avait manqué de respect. Vous voulez savoir comment, et bien pendant une semaine je lui ai causé beaucoup de problèmes. Et grâce à moi, il s'est fait viré du lycée. Bien sûr, je n'avais rien dit sur ce qu'il m'avait fait. Seul Jeremy le savait mais Alice et Nolan ne se doutait de rien. Pourtant un soir, tout allait encore une fois basculer. Nolan, Alice, Jeremy et moi étions aller manger dans un endroit sympas, tout les quatre, histoire de se retrouver. Nous étions sur le retour, nous marchions dans la nuit. Jeremy avait posé son bras sur mes épaules. Hayden surgit d'une petite rue. Il avait encore une fois bu. « Comment on se retrouve sale petite garce » Je croirais dans un de ses livres policier ou thriller seulement là, ce n'était pas la même chose... « Oh tu vas te calmer toi » dit Nolan « Ta gueule toi, je parle à ton amie, cette petite garce » « Ecoute Hayden t'as encore trop bu, arrête s'il te plait » « Tu croyais sincèrement que j'allais te laisser tranquille après ce que tu m'as fait » « Tu rigola là j'espère, tu m'as violé Hayden, VIOLE, tu sais ce que ça veut dire. Comparé à ce que tu m'as fait subir sale c*n, moi c'était rien » « Arrête tes conneries, on sait tout les deux que tu le voulais, alors je t'ai donné ce que tu voulais » « Non mais tu te fous de ma gueule, où je t'ai dis que je le voulais, c'est toi qui comprend rien, aller casse toi de là, sérieux. » « Oh non, je ne partirais pas, je vais d'abord rêgler ton compte » Nolan s'approcha d'Hayden en lui faisant signe de partir. « Sérieux mec, t'as que ça à foutre, au lieu de rattraper tes conneries tu t'enfonces...Aller écoute la, elle a raison, casse toi de là, tu nous gène ! » Hayden rigola. Bien sûr, Nolan n'aimait les gens qui riaient avec un rire moqueur. Alors il voulait lui montrer qui était le plus fort. Vous connaissez les garçons comment ils sont...Hayden lui mit un poing dans le ventre. Au moment où Nolan allait contre-attaquer, Hayden sortit un poignard et lui planta dans les poumons. On n'eut même pas le temps de réagir. Nolan tomba à terre et Hayden partit à toutes jambes. Jeremy se précipita sur Nolan. Je pris un air effrayé, les larmes montés. Alice pleurait déjà. J'appelais un hôpital. On restait près de lui. Je ne pouvais pas imaginer le pire...Une ambulance arriva et on le chargea à l'intérieur. Il avait perdu beaucoup de sang. J'avais peur. On monta tout les trois dans l'ambulance qui allait nous conduire à l'hôpital. Seulement, ce fut trop tard. Nolan avait expiré son dernier souffle en nous disant qu'il nous aimait beaucoup et qu'il fallait malgré tout, continuer à sourire et à vivre. J'avais fondu en larmes dans les bras de Jeremy, il avait aussi fondu en larme. Alice tomba dans mes bras en pleurant. Voilà comment une perte d'un ami peut faire souffrir ses proches...

Quelques jours plus tard, son enterrement eu lieu. On été tous présent. Nolan avait été un vrai frère pour moi. Il a toujours su me protéger et si il est sous terre aujourd'hui, c'est en partie à cause de moi. Je le regrettais et je culpabilisais. Il me manquait et à ce moment là, j'avais moi aussi envie de le retrouver sous terre. Adieu Nolan, adieu mon meilleur ami, adieu mon frère, à jamais dans mon coeur...

Il avait fallu tourner la page après ce drame. Alice était repartit vivre au Brésil, dans son pays natal qu'était le Brésil. Elle n'avait pu supporter la mort subite de Nolan. Elle avait préféré fuir la souffrance. Elle voulait rapidement oublier et reconstruire une nouvelle vie. Bien sûr ça nous attristait. Alice était ma meilleure amie et d'une autre façon, elle me quittait aussi. A nous 19 ans, Jeremy du aussi partir. Son père avait été muté en Australie. On a du se quitter. Ma vie dêvînt pathétique. Je me sentais mal. J'avais perdu tous ce à quoi je tenais. J'avais dégringolé. Je me suis mise à boire, à fumer beaucoup. Puis ensuite vînt la drogue. A New York personne peut échapper à ça. Je couchais avec n'importe qui et bientôt mon nom apparu sur pratiquement tout les journaux de Neu York. Et pas en petit ! Je revenais chez moi complètement défonçé. Mais un jour, plus particulièrement, j'avais vraiment touché le fond. De plus, ce jour là, mon père avait décidé de me faire chier. « C'est une heure pour rentrer » Je le regardais surprise « D'où tu t'inquiète pour moi toi ? » « Moi, non ! Je suis une sainte ni touche » Il s'approcha de moi, examina mes yeux, sentit l'odeur qui remontait de ma bouche. « En plus d'être drogué, tu as bu » « Et alors qu'est ce que ça peut te faire ! Tu ne t'ai jamais occupé de moi, ça va pas changer aujourd'hui. » « Il serait temps que tu grandisse et que tu arrête de faire honte à la famille. Tu fais la une des journaux. J'ai plusieurs fois essayé de faire en sortes que tu n'y sois pas ! A cause de toi, certains collaborateurs ont voulus prendre leur distance. » « Ah, je me disais bien aussi que tu ne me parlais pas pour rien ! Qu'est ce que j'en ai à foutre de toi et de tes foutus collaborateurs ! » En un rien de temps, mon foutu père me mit une giffle. Et pas une petite. Les larmes montèrent aux yeux. Ca faisait mal. Je le regardais, passais ma main sur ma joue où il avait frappé. Je fronçé les sourcils puis je lui crachais dessus. il m'attrapa le bras et me balança contre le mur. J'avais mal. Il me prit et me jeta dans ma chambre. Il m'enferma. Mais c'est pas possible, quelle vie de merde que j'ai ! Mon père me plaça en centre de désintoxication pendant un ans. A ma sortie, je ne suis bien évidement pas rentré chez moi, j'ai préféré aller chez ma grand mère. J'avais entendu parlé du procjet du capitaine Valdore. Ce projet me plut beaucoup.

Un ans plus tard, voilà qu'il avait réussit ! Bien sûr je ne perdis pas de temps. Je voulais moi aussi embarquer. Je voulais quitter cette ville, ma vie. Je voulais tourner la page et refaire une nouvelle histoire, ma nouvelle histoire.

Avant d'embarquer sur son bateau, le capitaine aimerait vous poser quelques questions sur votre venue et vous connaitre un peu plus. Les premières questions posées sont bien sûr à rédiger, quant aux suivantes, vous pouvez répondre directement.

Bonjour, ici le capitaine de ce bateau, mais vous pouvez m'appeler capitaine Valdore. Aujourd'hui est un grand jour, nous entamons une croisière à travers le monde et sans limitation de durée ! Voici ma première question, pourquoi avoir embarqué à bord de l'Aloa Liberta ?

« Vous voulez vraiment savoir pourquoi j'ai embarqué sur votre bateau ?! Parce que je ne pouvais plus supporter mes parents et ma vie à New York, c'était bien trop étouffant alors j'ai préféré fuir autre part puis j'ai entendu parlé de votre projet et voilà donc pourquoi aujourd'hui je suis ici. »

Quel pays aimeriez-vous visiter ? Et puis-je savoir pour quelles raisons ?

« Oh vous savez, j'ai pratiquement déjà visité tout les pays ! En même temps je suis la fille d'un Blackwood, donc l'argent je n'en manque pas. C'est grâce à l'argent de mon père que j'ai pus partir à la découverte des pays. Mais je serais tenter de retourner aux îles des Caraïbes, au Brésil ou encore en France. Je sais que normalement vous demandez un pays mais il y en a exactement trois qui me tiennent à coeur. La France parce que depuis que je suis toute petite j'en rêve. J'ai du y aller une seule fois dans ma vie, pourtant je ne m'en souviens pas. La France est un beau pays qui m'attire comme le Brésil et les îles des Caraïbes. Bon d'accord, les îles des Caraïbes ne sont pas des payx mais des îles comme leur nom l'indique. Mais bon...on s'en fout ! Ah et il y a aussi l'Italie... » *toussotte puis un petit sourire s'affiche sur ses lèvres*

Si vous ne pouvez emmener qu'un seul objet sur une île déserte, lequel serait-il ?

« AHH DUR CHOIX ! *réfléchis* Hm...Je dirais mon blackberry noir ou mon Ipod Touch...Désolé, j'hésite encore... »

Maintenant, que je connais toutes les raisons qui vous ont poussés à embarquer sur l'Aloa Liberta, puis-je me permettre de vous poser quelques questions un peu plus.. comment dire, personnelles ? Excusez ma curiosité mais je me dois de connaître chaque voyageur qui met le pied sur mon bateau. Votre soirée, vous la passez à jouer au casino, à danser à la discothèque ou non loin du bar ?

« Vous voulez vraiment le savoir ?! *rougis* Ok, ben les trois ! Bon certes, le casino dépendra de mon humeur mais je passe plus mes soirées en discothèque ou non loin du bar qu'ailleurs ! Mais que voulez vous ?! J'aime danser, j'aime m'amuser,je profite seulement de ma vie. »

Un de vos buts principaux en venant ici, est-ce de faire de nouvelles rencontres, de trouver le grand amour ou d'ajouter de nouvelles conquêtes à votre liste ?

« Je ne sais pas vraiment ce que je fais ici...Si ce n'est m'amuser ! Peut être que de nouvelles rencontres me feraient pas de mal et pourquoi pas le grand amour ?! Mais pour l'instant restons en aux conquêtes et aux nouvelles rencontres. »