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LE FORUM A FERMER SES PORTES DÉFINITIVEMENT LE 08/01/2012 à MIDI Un immense merci à tous les membres qui ont participé à l'aventure et surtout à Juliet, Mike, Soan, Aydan, Drew, Deanou, Sepho', Willou, Oksana, Matthew et Junette qui sans son idée fantastique, AL ne serais pas et j'en passe surement ! On a vécu une aventure formidable mais aujourd'hui, il est grand temps de tournée la page. Vous allez me manquer (a) Channou/Lexy/Jess
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Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible."

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MessageSujet: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 13:42

JE ME PRÉSENTE Lily-Rose Dbreuve





Nom et prénom(s) : Lily-Rose Debreuve
Date et lieu de naissance : 5 Janvier 1984 (27 ans)
Lieu d'habitation : Paris
Statut civil : Célibataire
Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
Caractère :
On l'a dit silencieuse et discrète, Lily est l'ombre qui se glisse sur les murs, elle voit tous, entends tout mais ne révèle jamais rien sur elle.
On la dit solitaire et que très peu porter sur la parole. A croire qu'elle ne sait s'y prendre avec les autres.
On la dit autoritaire et déterminée, rien n'arrête jamais cette femme lorsqu'elle a quelque chose en tête.
On la dit cynique et arrogante elle se plait à devenir dérangeante, à découvrir les secrets que vous aimeriez garder enfoui et possède un sens de l'observation inouï.
On la dit agressive, ainsi les apparences sont belle et bien trompeuses car derrière son visage de poupée fragile se cache une jeune femme à la force étonnante qui possède une parfaite maîtrise des arts martiaux.
On la dit insensible, un vrai coeur de pierre dont le regard demeure aussi vide et inexpressif que le regard d'un mort. Le regard de la femme ayant déjà trop vécu.
On la dit intelligente et remarquablement douée pour l'art du chant et de la danse. On la dit sensible capable de voir au-delà des apparences et de percevoir l'âme même de celui qui lui fait face.
On la dit un peu folle également, Lily fait peur à parler en énigme et à murmurer au silence des lambeaux de phrases qui selon ses dires 'volent jusqu'à lui'.
On la dit sauvage et franche, Lily n'est pas de celle qui mâche ses mots, ni de celle qui prends des gants avec autrui.
Et pour ce qui est de Lily... Elle ne s'estime rien de tout cela et ne prête aucunement attention à la manière dont les autres la décrivent. Lily ne saurait répondre à un simple 'qui es-tu ?' pour la simple et bonne raison qu'elle estime n'être rien sinon une coque vide, un navire laissé à l'abandon et qui aspire à l'observation du temps qui s'écoule. Elle n'a pas à être gentille, pas à être douce ou méchante puisqu'elle ne recherche en aucun cas à établir un quelconque lien avec autrui. Lily est encore une grande enfant dont les rêves se sont vu brisés trop vite, Lily est une ombre dont l'esprit demeure cloisonné dans cette prison ou elle demeura pendant six ans. Lily est marquée par la vie et à perdu la conscience de la valeur de sa vie. Lily ne s'estime plus et se contente d'être ici sans chercher une réponse probable à un 'qui suis-je.'

Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Marioncotillard001
Poison sans délivrance.
 Était-il possible qu’une voix soit l’égal d’une caresse ? Se pouvait-il que le simple son du clavier écrasant une à une les touches de son clavier afin de lui offrir une réponse soit plus intense qu’une danse nocturne ? Dans le monde de l’informatique, plus rien n’a de sens. Le temps perdait toute signification, le monde lui-même semblait s’enfoncer dans les limbes du néant tant la jeune femme se voyait incapable de détacher son regard de ce petit écran. Car derrière ce dernier lui elle sentait le jour, car derrière lui elle écoutait le propre échos de son cœur, car derrière lui écrivait sa passion et que, pour rien au monde elle ne l’aurait laissée appuyer sur la petite croix rouge. C’était de l’amour, l’amour interdit et platonique ou la force des mots remplacent la tendresse des caresses et devient si puissant qu’elle aurait pu faire tout et n’importe quoi pour répondre aux exigences de celui qu’elle n’avait jamais vu mais qui possédait le secret de son cœur. 

Les ombres se levèrent peu à peu, glissant sur les murs ils s’approchèrent lentement de l’enfant qui, paisiblement endormit se laissait porter par la douce mélopée que déversait sa petite boite à musique. Un murmure, quelques caresses et voilà que le sommeil s’échappe peu à peu laissant les ombres sauvages envahir l’inconscient de la petite princesse endormit dont les rêves s’emplirent soudain de cris et de faciès déformés par la douleur de vivre. Cauchemars… Songes habituels qui virent puiser leur fin dans son hurlement qui jaillit de sa bouche béante, s’ouvrant dans une grimace rendue hideuse par la vision de son désespoir.
« Maman, maman ! » Mimaient ses lèvres sans que cela ne semble pourtant suffisant. Le silence fit échos à ses hurlements et dans l’ombre entrebâillé de sa chambre la petite fille pût voir le regard bleuté de sa mère jetant un unique coup d’œil à sa tristesse avant de disparaître dans le couloir. Le silence revint, la solitude également et, impuissante, le petit ange déchu parvint à s’asseoir dans son petit lit d’oseille et ne retint plus ses gouttes salés qui, petit à petit, vinrent mouiller son linge sans que la petite fille ne puisse lutter contre cela. Ce soir là, elle se baigna une fois de plus dans l’eau salé de ses tourments, divagua longtemps sur les vagues houleuses de ses craintes avant de trouver refuse auprès de l’île sommeil au petit matin, alors que les premiers rayons solaires lui promirent de la protéger des ombres.

« - Hier soir j’ai oublié de dormir. C’est souvent ainsi maintenant le sais-tu ? Je lis tes mots jusqu’à point d’heures, bois chacune de tes paroles comme si elles étaient les dernières et puis quand tu me quittes… J’ai la sensation que le monde s’écroule, mon souffle s’accélère et ma poitrine se creuse comme si… Comme si mon cœur voulait te rejoindre, traverser l’ordinateur pour enfin te retrouver. Et alors après… Après je ne peux plus dormir, je reste assis sur mon lit à fixer le ciel en me demandant si, il ne serait pas envisageable de nous rencontrer enfin ? J’étouffe dans ma prison doré et les ombres… Mon Dieu les ombres, elles rendent mes nuits infectes et sanglantes, je n’en peux plus de voir ce sang, j’ai besoin d’aide, j’ai besoin que tu m’aides.
- Mais je ne peux t’offrir que mes mots. Combien de fois m’as-tu parlé de cela ? Ô je voudrais être à tes cotés et tuer ces ombres qui t’obsède mais je ne le peux. Que dirais ta mère si une jeune fille de 15 ans venait soudainement à partir pour rejoindre un inconnu que trop âgé pour elle ? Il est encore trop tôt et il y a des choses, hélas que je ne peux régler à ta place.
- Ma mère n’est qu’une éternelle absente qui trouve son plaisir loin de la maison familiale. Je ne suis rien pour elle et je ne serais jamais rien. Je suis une ombre moi aussi, son ombre, son péché, son cauchemars, le fruit d’un amour interdit qu’elle aimerait oublier. Je suis le souvenir de son erreur, de sa jeunesse perdue et j’ai vu dans l’immensité de ses yeux bleus combien elle regrettait que je fus là. Alors elle ne dirait rien, elle en serait heureuse le sais-tu ? De me voir disparaître à tout jamais ?
- Mais n’aurais-tu pas peur ? Tu n’as jamais vu mon visage peut-être suis-je un être répugnant qu’il vaut mieux fuir et je crains qu’à la seconde ou ton regard se posera sur moi que tu oublies mes mots tant mon image de fera peur.
- Pourquoi dire cela ? Et qu’es-ce qu’un visage ? Je me moque de la, tu m’as offert quelque chose de bien plus important, je connais ton cœur tout comme tu connais le mien. L’amour que je te porte est plus fort que le physique.
- Nous ne pouvons nous le permettre mon petit ange déchu, avant de nous rencontrer il faudra mettre fin à tes problèmes, trouve tes réponses, fait mourir tes ombres et enfin, nous, nous rencontrerons. »


- Mais ne serait-ce pas la petite Lily ? Mon Dieu comme elle a grandit ! Tu seras une femme véritablement splendide Lily !
La main grasse et potelé outrageusement alourdit de bagues dorées vint se poser sur la joue de la jeune femme en devenir qui lui faisait face. Immobile et interdite, Lily leva sur sa tente son regard aux profondeurs inssondés et lui offrit l’ombre d’un sourire polie avant de s’incliner légèrement la remerciant tacitement pour son compliment.
- Et toujours aussi polie ! Une vraie femme du monde je te félicite ma petite Catherine cette petite à de l’avenir mais, dis-moi, que comptes-tu devenir jeune fille ?
Les yeux entourés de noir de la femme se posa sur celle de la jeune fille tout en essayant difficilement de percevoir ce que cette petite fille qu’elle avait connu dans les bras de sa mère avait aujourd’hui derrière la tête. Mais rien n’y fit. La demoiselle restée droite, la tête haute et le regard fermé offrant à son regard l’image d’une jeune femme endurcit par une jeunesse difficile et dont le mystère qui l’entourait laissait entrevoir un mal être profond dans lequel elle ne pouvait en sortir seule.
- Je ne sais encore exactement madame mais tout porte à croire que je deviendrais avocate comme l’avait souhaité mère.
- Est-ce bien vrai Catherine ?
- Oui, Lily est particulièrement douée au lycée, première dans chacune de ses matières et je compte lui offrir la meilleur école qui soit pour répondre à ses désirs d’études. Nous en avons les moyens après tout.
- Fantastique ! Et bien Lily je te souhaite beaucoup de courage maintenant voudrais-tu nous excuser ? Il me faut m’entretenir avec ta maman.
- Bien entendu si vous avez besoin de moi je serais dans ma chambre.

Le voile vint peu à peu prendre d’assaut les cieux étouffant les dernières lueurs du jour avant de s’étendre sur la divine ville de Paris. Les lumières vinrent peu à peu lutter contre les ombres et offrirent à la capitale un nouveau visage que la douce Lily se plaisait ce soir là, à contempler.
Enveloppée sous la chaleur de ses draps elle prêta l’oreille aux pas de sa mère qui bientôt referma à double tour la lourde porte de leur luxueux appartement. La nuit appelle à la débauche et, comme chaque soir, Catherine n’avait su ignorer ce chant lancinant dont le désespoir la forçait chaque soir à aller s’oublier dans les bras d’un inconnu.
Mais se perdre dans les limbes de la luxure ne lui permettrait jamais d’oublier son visage. Lui qui n’a jamais su aimer que la souffrance avait laissé derrière lui des blessures que le temps ne saurait jamais guérir. Lily demeurait vivante, lui rappelant chaque jour la femme atroce qu’elle était et la mère indigne qu’elle avait accepté de devenir. Alors… Il ne lui restait qu’à prié que le secret demeure à jamais sous clef et d’espérer, qu’un jour, elle pourrait se pardonner d’être ce qu’elle était…

« - Que deviennent tes ombres mon aimé ?
- Elles existent toujours, je les attends chaque nuit et ne parvient à trouver le sommeil qu’à l’aube naissante. Mais elles sont plus agressives chaque nuit, elles me guident vers une vérité cachée mais… J’ai peur, je ne veux rien savoir car je crains que la vérité est bien pire que mes ombres.
- Ne dis pas de bêtises, il te faut savoir alors seulement tu pourras trouver la paix que tu recherches.
- Mais comment m’y prendre ? Je ne sais où chercher.
- Là où les secrets dorment encore… »

Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Sansre1os
Les vérités font mal.

La géante d’argent régnait encore en maître lorsque Catherine passablement éméchée et les cheveux en bataille rentra de sa folle soirée de débauche. Retirant ses hauts escarpins d’un geste gauche elle tituba jusqu’à sa chambre où elle y trouva sa fille, assise en tailleur sur son lit et tenant entre ses mains le secret de sa naissance. L’enfant devenu jeune adulte leva sur sa mère ses grands yeux bleus dans lesquels se lisaient toute la douleur du monde avant qu’une larme ne vienne à s’échapper pour s’écraser sur ses lèvres.
- Alors mes ombres… Papa… Je n’aurais pas du exister c’est cela ? Et toi… Toi tu n’aurais pas du me garder auprès de toi ! Pourquoi ?
La main de Catherine vient s’abattre sur la joue de la jeune femme qui, dans un hurlement de rage se jeta sur mère. L’attrapant par les cheveux, elle laissa tout son corps reposer sur le sien qui, chancelant tangua un instant avant de s’écrouler lourdement sur le plancher. La grande Lily se redressa alors, esquiva une seconde claque et reteint les mains de sa mère en laissant ses longs ongles s’enfoncer dans la peau de cette femme qui venait, en une seconde, de perdre toute sa fierté et sa splendeur. Catherine ne ressemblait plus à rien si ce n’est à un pantin désarticulé qui, dans un rictus amer voit la sentence arriver.
- Il m’a… Il nous a et… Tu n’as rien fait ? Tu as accepté ? Souffert en silence pendant que ton bébé… Les ombres tu ne m’as jamais sauvé des ombres ! J’aurais pu comprendre, j’aurais pu !
Et les larmes glissaient encore s’écrasant peu à peu sur les lèvres de sa mère qui s’étirèrent bientôt en un étrange sourire si terrifiant que Lily hésita entre peur et colère.
- Mais tout est fini Lily… Ton papa n’existe plus, j’ai tué la souffrance, il est partit et plus jamais il ne reviendra n’est-ce pas là l’essentiel ?
Quelques gouttes de sang glissèrent sur la peau de nacre de la mère échaudée qui, peu à peu, parvint à se redresser et à repousser sa fille qui retomba impuissante sur ses fesses le visage ravagé par les larmes.
- Disparu ? Mort ? Aurais-tu fais justice toi-même ?
- Il le fallait Lily, personne n’aurait cru une ancienne fille de joie devenue femme d’un imminent avocat, il avait des amis, tellement d’amis et j’étais seule, si désespérément seule.
- Mais pourquoi être restée avec lui ? Pourquoi avoir attendu de porter la vie pour agir ainsi ? Pourquoi m’avoir impliqué dans cela ? Tu n’avais pas le droit tu entends ?
- Idiote tu poses trop de questions !

Catherine vint jusqu’à sa fille qu’elle saisit au cou avant de la forcer à se relever. Le regard porteur de folie, elle laissa ses doigts se refermer peu à peu autour de l’artère de son péché dont le visage changea peu à peu de couleur tandis que son corps de femme se débattait tâchant de fuir désespérément à celle qui désirait lui retirer toute vie.
- Se sont mes souvenirs Lily et tu es mon péché. Je regrette chaque jour de t’avoir fait mais je ne pouvais me résoudre à te détruire à ton tour. Tu vois ? Toute humanité n’a pas déserté mon être alors oublie ce que tu as lu dans mon journal, deviens ce que tu t’apprêtes à devenir et ne fais plus jamais ressurgir le passé ainsi. Ou s’en sera fini de toi entendu ?

Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Sansre2k
Un regard vers l'avenir ?

« - L’as-tu tué ?
- Non.
- As-tu voulu la tuer ?
- Oui.
- Combien de fois ?
- Tous le temps, ce désir de mort m’obsède, chaque fois que je la croise, que je vois son regard, je me souviens et ces ombres, elles reviennent sans cesse.
- Peut-être est-elle la solution ?
- Comment ça ?
- Si elle disparait, tes ombres disparaitrons et nous, nous rencontrerons enfin…
- Mais… Je ne peux agir ainsi. Ne jamais faire justice sois-même voilà ce que j’ai apprit, je ne peux pas faire ça, je ne saurais pas comment faire.
- Désires-tu que je t’aide ?
- Comment ?
- Je peux t’apprendre comment faire, te guider pour que tout cela soit rapide et sans douleur, je peux t’insuffler le courage. Penses au bonheur ensuite Lily. Tu pourras vivre pour toi, nous pourrons nous rencontrer et enfin envisager un avenir meilleur loin de toute cette souffrance.
- Mais c’est ma mère !
- T’as mère ? Penses-tu qu’une mère laisse son enfant se faire battre et violer par un homme ? Elle a accepté tout cela pour pouvoir continuer à vivre sous son toit. Il lui offrait richesse, ta mère a vendu son âme pour de l’or au profit de sa pauvre petite femme innocente et tu oses nommer cela une mère ?
- Chacun fait comme il le peut pour atteindre le bonheur.
- Oui, toi aussi tu feras comme tu le peux… Comme ta mère et… Pour nous. Ne nous oublie pas. »

Le regard posé sur les flammes chatoyantes la jeune femme demeurait immobile. Les genoux repliés le long de son corps, elle laissait la chaleur bienfaitrice du feu envelopper son corps tout en songeant à la meilleur manière d’en finir. Il avait raison comme toujours. Sa mère vivait depuis trop longtemps dans le mensonge, elle utilisait chaque personne sans se soucier de leurs sentiments et, un jour, Lily savait qu’elle agirait également ainsi avec elle. Soupirant, la jeune femme tourna la tête à l’instant ou Catherine fit son entrée. Stoïque, Lily laissa courir son regard le long du corps de sa mère dont la silhouette aux courbes divines était revêtu se soir là d’une splendide robe de satin noir. Redressant la tête, Lily divagua un instant sur l’image de cette femme brûlant dans les flammes avant de sursauter au son de son rire.
- Lily ma douuuce Lily ! Ainsi tu as réussi hein ? Regarde toi. Splendide jeune femme et avocate se surcroit ! On ne tarie pas d’éloges sur toi le sais-tu ? Lily-Rose l’intransigeante ! Lily-Rose l’inflexible ! Et j’en passe. Aaah ! Ca me donne envie de vomir mais maintenant tu serviras à quelque chose n’est-ce pas ? Tu vas aider ta vieille mère qui n’a plus un rond en poche !
Vacillante et riant tel le démon qu’elle était Lily vit alors l’éclat d’une bouteille de wisky qu’elle tenait dans ses mains. Serrant les points autour de sa couette elle se redressa lentement tout en faisant face à sa mère dont le visage, s’il fut autrefois superbe, possédait à présent le teint grisâtre de la vieillesse qui vient et s’installe trop rapidement.
- Voudrais-tu que je paye tes insomnies ? Que je t’offre bouteilles et robes afin que tu puisses continuer à coucher avec le premier venu ? Souhaites-tu que je sois le porte monnaie de ta débauche ? N’as-tu donc pas un peu plus de fierté et de dignité ?
- Mais écoutez-moi ma princesse. Dignité et fierté ah ! Crois-tu qu’une femme ai besoin de cela ? La fierté et la dignité ça ne sert à rien mon chou surtout en tant que gazelle ! Mais tu verras toi aussi, le jour ou tu voudras quelque chose plus que tout au monde tu comprendras combien ouvrir facilement les cuisses peu être aidant !
- Non. Je refuse d’en venir à cela, je refuse de ressembler à l’être infâme que tu es devenues. Regarde-toi. De ta beauté passée il ne te reste que l’ombre de tes formes ! Tes lèvres n’ont plus de saveurs et ce rouge dont tu les pares est outrageant, tu ressembles à un clown malade qui essaye vainement de camoufler les horreurs du temps derrière un masque de poudre !
- Ne parle pas ainsi à ta mère !

Et le bras de satin se tendit offrant à la vue brouillée par la rage de Lily l’éclat de la bouteille d’alcool à moitié vide. Sursautant, la jeune avocate eu le temps de sauter sur sa droite afin d’éviter l’attaque de sa mère qui, furieuse et encore trop imbibé d’alcool pour se retenir bondit aussitôt sur sa fille qu’elle empoigna sauvagement par les cheveux.
Deuxième assaut et fulgurante douleur. Lily cria de nouveau, se débâtit un instant avant de mordre sauvagement la joue de sa mère. Les deux femmes demeurèrent dix secondes enlacés ainsi à se battre tout en refusant d’abandonner lorsqu’il Lily pu enfin avoir le dernier mot. Tirant brutalement en arrière elle sentit sa mère relâcher son emprise sur ses cheveux et pu, enfin, se redresser et s’abriter derrière leur canapé. Le regard emplit de panique et le cœur battant sauvagement contre sa poitrine elle vit Catherine se redressa le visage ensanglanté par sa morsure. Était-ce donc cela le goût amer qu’elle avait sentit perler dans sa bouche ?
- Alors ? Que ressens-tu à la découverte de ce goût ? N’est-ce pas merveilleux de se sentir devenir animal ? Tu ne pensais plus à rien, tes sens se voyaient brouillés et je suis sûr que tu rêvais et que tu rêves encore de me voir allonger ici, sur ce tapis, morte et baignant dans mon sang. C’est ici qu’il est mort le sais-tu ? Sous tes pauvres petits yeux d’enfant innocent. Qu’elle âge avais-tu ? Cinq ans peut-être ? Oui c’est cela, il s’occupait de toi chaque jour que Dieu fait et lorsque s’amuser avec toi ne lui suffisait plus il revenait me voir. Il était fou. Enfin quoi qu’il en soit j’ai fini par enfoncer un grand couteau de cuisine dans son dos comme ça !
Elle mima le geste brutalement faisant sursauter Lily qui, sous le regard endiablé de sa mère se sentait soudain dès plus impuissante. Reculant de quelques pas elle ne pouvait que garder son regard effrayé figé sur cette femme devenue brutalement une inconnue et dont les traits déformés par la haine la faisait étrangement ressembler au démon.
- Il c’est écroulé ici et tu t’es mise à pleurer. Oui, tu as pleuré la mort du salop qui te faisais connaître des choses qu’une enfant de cinq ans ne dois pas connaître. Je t’ai hais pour cela le sais-tu ? Mais je ne pouvais, pas me résoudre à faire la même chose que toi, je n’aurais jamais pu faire passer cela pour une tentative de vole sinon. Oh oui j’avais oublié ce détail, c’est notre ancienne bonne qui paye à ma place n’est-ce pas fantastique ? La pauvre était victime de ton père aussi, elle a bien tenté d’expliquer sa véritable nature mais ce grand con semblait si parfait aux yeux des autres et je jouais si bien la pauvre mère éplorée.
Catherine joignit ses mains entre elle et cacha son visage à l’intérieur tout en laissant échapper un sanglot plus vrai que nature. Relevant légèrement la tête elle éclata ensuite de rire et mima son désir de se rapprocher de sa fille qui, aussitôt, fit un pas en arrière manquant de renverser un vase.
- As-tu peur ma douce Lily ? Ne vas-tu pas essayer de me tuer ? Tu le pourrais pourtant, tu as le sang d’un violeur mêlée à celui d’une pute doublée d’une tueuses alors ? Qu’attends-tu ? Penses-tu toujours qu’il ne faut pas faire justice soi-même ? Pauvre enfant idéaliste va donc te prendre un coup de…
- Arrête ! Je ne suis pas comme toi, je ne suis pas un monstre, je suis quelqu’un de bien ! QUELQU’UN DE BIEN !

Tournant brutalement le dos Lily traversa en hâte la cuisine, attrapa sur son passage un couteau et rejoignit sa chambre en prenant soin de fermer la porte à double tour tout en déplaçant sa commode devant. Morte de peur et tremblante de rage, la jeune femme laissa son doigt glisser sur la longue lame de son couteau avant de le laisser tomber par terre pour se connecter aussitôt à internet. Il fallait lui parler, il le fallait.

Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Sansre4rm
Il est sa fleur, sa fleur du mal.


« - Ne te l’avais-je pas dit mon petit ange ? Ca sera toi ou elle à présent et maintenant que tu sais d’où viennent tes ombres il faut que tu la fasses disparaître elle est la cause de tous tes maux.
- Je pourrais. Je pourrais tout dire aux policiers ? Elle finirait en prison et moi je reprendrais une vie normale.
- Allons, allons, tu ne le supporteras pas, une femme telle qu’elle ne mérite guère de vivre et elle saura toujours retomber sur ses pattes et finira par te faire souffrir encore. Allons Lily, écoute moi, nous allons le faire ensemble.
- Comment ?
- Car je serais avec toi, dans tes pensées et je te donnerais la force de frapper. Imagine ma Lily, son regard horrible se vidant de toute vie ne serait-ce pas libérateur ? N’est-ce donc pas là ton rêve depuis ce premier jour ou elle faillit te tuer ? Il n’y a aucun mal à se protéger Lily, aucun mal à sauver sa peau…
- Tu me jures, jure-moi que l’on partira ensemble ? Jure-moi que cet ordinateur ne sera plus une barrière, que je pourrais te sentir, te toucher, t’aimer vraiment. Jure moi que tu me sauveras du mal, que tu seras mon pardon je t’en supplie jure le moi !
- Je te le jure mon ange… Mais avant cela c’est à toi d’agir mon ange… »

Que le temps est long lorsque la fin est proche. Assis sur son grand lit la jeune femme caressait lentement la longue lame du couteau de cuisine tout en mimant, par instant, le geste fatal qui signerait la fin d’une vie. Souriant doucement, elle jeta un bref regard à son ordinateur, songea aux mots d’amours qu’ils s’envoyaient depuis des années tout en sentant son corps s’enflammer à l’idée de leur prochaine rencontre. Elle l’aimait. A en perdre haleine et la vie, elle l’aimait à pouvoir agir sans réfléchir et la voilà prête à sacrifier une vie pour lui. N’était-ce pas contre ses principes ? N’était-ce pas étrange qu’il lui demande d’agir ainsi ? Mais la mort… Lily serait enfin en paix quand elle la verrait tomber à ses pieds alors…
Se levant, elle déplaça lentement sa commode avant d’empoigner son couteau et d’ouvrir la porte. L’obscurité avait avalé le jour mais la douce Lily voyait encore l’ombre des flammes danser sur les murs. Pas un bruit ni un murmure, l’appartement était plongé dans le silence si bien que seul l’agonie du bois se faisant dévorer lui parvenait parfois. Prudente, la jeune femme glissa telle une ombre contre le mur tâchant de contrôler sa respiration qui aurait pu la trahir. Fermant un instant les yeux, Lily serra son couteau contre son cœur comme pour se donner du courage avant de se glisser silencieusement jusqu’au salon. Sa mère lui tournait le dos. Assise sur son canapé de cuir elle terminait une cigarette dont les cendres retombaient une à une sur le tapis rouge sans qu’elle n’y prête la moindre attention. Le regard perdu dans la danse des flammes elle avait conscience de la présence de sa fille sans que cela ne semble pour autant l’inquiéter. Elle était son péchée, n’était-ce pas naturel de mourir de la main de son péché ?

La main tremblante mais le regard déterminé, Lily envoya une dernière pensée à celui qui avait capturé son cœur et, d’un dernier pas, fit glisser son couteau sur le cou de sa mère et, d’un geste, lui trancha la gorge.

  « Crime horrible dans le 16ème arrondissement, la célèbre Lily-Rose Debreuve connue comme étant une brillante avocate égorge sa mère dans un excès de folie. Nous n’en savons guère plus pour le moment mais cette histoire ébranle déjà toute une communauté d’avocat, pour vous, nous sommes aller à leur rencontre :

Journaliste : Maitre Vlad, vous étiez un proche ami se maitre Debreuve la croyiez-vous capable de réaliser un pareil crime ?
Maitre V : Maitre Debreuve était remarquablement douée et jamais je ne pourrais concevoir qu’elle est plus agir de la sorte seule. Elle menait à bien chacune de ses plaidoiries, les remportaient le plus souvent et faisait preuve d’une humanité fantastique.
Journaliste : Voudriez-vous dire que quelqu’un aurait pu l’influencer ? Maitre Debreuve n’a jamais connu son père et certains membres de sa famille la disait relativement fragile et renfermée sur elle-même, pensiez-vous qu’elle puisse être manipulable ?
Maitre V : Monsieur je ne peux vous en dire plus, à présent c’est à la police de tirer cette histoire au clair mais soyez sur que la justice fera son œuvre ! »

- Monsieur n’en avez-vous pas assez ? Je vous ai tout raconter, des centaines et des centaines de fois. Je ne sais pourquoi avoir agit ainsi. Par crainte, haine et désillusion mais je vous le jure, j’ai agit seule, seule…
- Mademoiselle il n’est plus utile de le couvrir. Le préfet nous à autoriser à perquisitionner votre appartement et nous avons retrouvé des dizaines de caméras dispersés de part et d’autres de votre maison. Nous avons ainsi pu voir vos… Rapports avec votre mère mais également les longues discussions que vous aviez sur internet…
Le regard vide de la jeune femme se posa sur le visage cerné du jeune inspecteur. Un homme loyal et qui croyait encore en sa bonne foie. Voilà trois ans qu’elle était enfermée, trois ans qu’elle avait rejoint l’Enfer et pourtant, il se battait encore et aujourd’hui, caressait la terrible vérité.
- Cet homme madame… Nous l’avons retrouvé, il est connu de la police et sévit en France depuis des années à présent mais il semble avoir été particulièrement touché par vu, d’habitudes chacun de ses… Victimes qu’il manipule finisse par trouver la mort.
- Manipuler ? Non, non. Il m’aimait, il me la dit, nous aurions du vivre ensemble mais ce soir là. Je n’ai pas eu le courage de fuir.
- Vous ne comprenez pas mademoiselle. Cet homme agit ainsi avec chacune de ses victimes. Il les étudie, se renseigne sur leur vie et rentre en contact avec elle par internet. Il se nourrit du malheur des autres et pousse ses victimes à tuer ceux ou celles qui les font souffrir. Ces caméras il… Il les avait placé chez vous, dans votre chambre et jusque dans votre douche simplement son plan n’a pas fonctionné comme il l’espérait puisque vous n’avez pas fui à la suite du meurtre de votre mère et votre appartement étant sous surveillance depuis trois ans nous avons juste eu à le ’cueillir’.

Il était si gentil… Eblouit, le regard de Lily demeurait figé sur les lèvres du jeune inspecteur dont la voix emplit de douceur et de compassion venait résonner à ses oreilles comme une lointaine chanson. Néanmoins, ses paroles ne trouvaient en son esprit que l’échos du vide abyssale dans lequel elle c’était perdue peu à peu. La tête chancelant sur le coté la jeune femme remua ses poignets meurtris par la pression des menottes dont le métal froid lui mordait peu à peu la peau. Devant cette absence manifeste de réaction l’inspecteur vint s’asseoir à la table et posa son regard noir dans l’océan du sien tout en tachant vainement d’offrir un sourire réconfortant à cette femme dont l’histoire le touchait plus qu’elle ne l’aurait du.
- Mademoiselle dans de telles circonstances et avec l’aide de Maitre Vlad il est possible de vous faire sortir de prison, vous avez certes commis un crime mais vous avez été manipulée et nous pouvons appuyer sur votre état psychologique et sur la torture morale que vous a infligé les révélations sordides de votre mère. Rien n’est perdu vous m’entendez ?
- Tout est perdue… Que me reste-t-il ? Mes espoirs se sont consumés et le dehors n’est qu’un autre Enfer à l’image de celui que je vis depuis ma naissance. Entre quatre murs ou à l’air libre cela n’a plus d’importance, plus rien n’a de sens monsieur.
- Mais… N’avez-vous pas de la famille ? Des gens biens vous entour et se battent pour vous depuis trois ans ne serait-il pas juste de vous battre à votre tour ?
- Il y a tellement de gens biens… Mais le suis-je ? J’ai tué ma mère, manipulée ou non j’ai commis ce crime seule, j’ai vu et aimé ce sang qui coulait sur mes mains et ce que j’ai vécu entre vos murs on finit de détruire la moindre parcelle d’humanité qui existait encore en moi alors si je sors… Ce sera une victoire mon maitre Vlad et pour vous aussi mais pour moi ? Et cesser d’employer ce mot de justice. L’être humain est injuste, notre présence sur terre et une injustice ! Nous sommes des éternels hors la lois condamnés à n’être rien, pire que des animaux et tout juste plus glorieux que des porcs.





UN BOUT DE MOI ................


Avant d'embarquer sur son bateau, le capitaine aimerait vous poser quelques questions sur votre venue et vous connaitre un peu plus. Les premières questions posées sont bien sûr à rédiger, quant aux suivantes, vous pouvez répondre directement.

Bonjour, ici le capitaine de ce bateau, mais vous pouvez m'appeler capitaine Valdore. Aujourd'hui est un grand jour, nous entamons une croisière à travers le monde et sans limitation de durée ! Voici ma première question, pourquoi avoir embarqué à bord de l'Aloa Liberta ?
Voilà un mois que j'ai été acquittée. Trois ans de prison, cela n'est rien et pourtant ces trois ans ont suffit à détruire la moindre parcelle de vie existant encore en moi. Je porte sur mes épaules le lourd poids d'une vie et quand bien même je ne regrette en rien sa disparition je ne parviens encore à trouver un sens nouveau à ma vie. Tous me parait absurde, vide de sens, la vie n'a plus de saveur et que je sois ici ou ailleurs mon Enfer est le même. Savez-vous ce que cela d'être prisonnière de vous même ? Quoi qu'il en soit, cette croisière cette imposée à moi comme une évidence. Mon ami et avocat Vlad m'a conseillé de partir et de voyager, de voir différent paysage et de prendre le temps d'observer l'écoulement tranquille de la vie et me mêler aux inconnus. Son avis fut partagé par le psychanalyste qui me suit depuis ma sortie de prison aussi est-ce pour cela que je me suis rangée de leur coté tout en sachant pertinemment que ce voyage ne me mènera nul part...

Quel pays aimeriez-vous visiter ? Et puis-je savoir pour quelles raisons ?
Pourquoi aurais-je de préférence ? Le but de cette croisière n'est-elle pas de découvrir tout simplement ? Espagne ou Afrique peu m'importe, je ne retiendrais que les visages, les sourires et les larmes des gens que je croiserais et qui, j'espère, m'aideront enfin à me pardonner à moi-même.
Si vous ne pouvez emmener qu'un seul objet sur une île déserte, lequel serait-il ?
Un stylo et une feuille, j'écrirais mes derniers regrets et je laisserais la mer venir lécher l'ancre de mes illusions.

Maintenant, que je connais toutes les raisons qui vous ont poussés à embarquer sur l'Aloa Liberta, puis-je me permettre de vous poser quelques questions un peu plus.. comment dire, personnelles ? Excusez ma curiosité mais je me dois de connaître chaque voyageur qui met le pied sur mon bateau. Votre soirée, vous la passez à jouer au casino, à danser à la discothèque ou non loin du bar ?
A rêver sur le pont ou à demeurer dans ma cabine mais je ne suis jamais contre quelques nuits à danser jusqu'à ne plus sentir mes pieds et mes jambes. Oui, la sensation divine de la musique épousant votre peau et se propageant dans vos veines jusqu'à prendre le contrôle total de votre corps. La danse c'est ma porte vers l'oubli, la perfection...

Un de vos buts principaux en venant ici, est-ce de faire de nouvelles rencontres, de trouver le grand amour ou d'ajouter de nouvelles conquêtes à votre liste ?
Rien de tout cela, je ne crois plus en l'amour et plus en l'amitié, posséder une liste de conquête remplit à ras bord ne m'intéresse guère et je n'y trouve d'ailleurs aucun intérêt. Je ne veux pas m'attacher je recherche juste un nouveau sens à mon existence qui sais, peut-être quelqu'un pourra-t-il me l'apporter. Peut-être que l'espoir existe encore et que rien n'est tout à fait perdu. Peut-être et incertitude...




Derrière l'écran ................


PSEUDO : L.G
AGE : 18
AVATAR PRIS : Marion Cotillard
COMMENT AS-TU ATTERRI ICI : En fouillant sur le top-site obession.
CE QUE TU PENSES DU FORUM : C'est le design qui m'a tout d'abord frappé puis le contexte, il change de l'ordinaire et comme je suis à la recherche d'un forum ou je pourrais enfin être active et parvenir à jouer un personnage féminin. Tentons l'aventure !
CODE :
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UN PETIT MOT :



Dernière édition par Lily-Rose Debreuve le Mar 14 Juin - 17:47, édité 20 fois

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 13:46

Bienvenue parmi nous ma belle !
Bon courage pour ta fiche et si tu as des questions n'hésite surtout pas :heart:
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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 13:47

Merci beaucoup ! :^.^:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 14:12

Bienvenue !
Bon courage pour la suite de ta fiche Very Happy

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 14:13

    welcome & good luck pour ta fiche ;D

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 14:21

Merci. =)

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 14:59

Bienvenue sur l'Aloa & bon courage pour ta fiche !

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 15:18

Bienvenue :heart:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 15:47

MARIOOOOOON ! :344: Très bon choix d'avatar et surtout très rare sur les rpg :heart:
Bienvenue sur Aloa liberta :slurp:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 17:10

Merci, merci. :^_^: Et oui, elle se fait rare c'est bien pour cela que je l'ai choisie ! :heart:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 17:28

Bienvenue sur le forum :excite:
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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeLun 13 Juin - 18:27

Merci ! :P:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 0:01

bienvenue ♥

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 0:05

Marchi ! ♥

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 9:41

Bienvenue sur le forum, super choix d'avatar, Marion est superbe :heart:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 11:44

Merci beaucoup ! Heureuse que mon choix plaise. :content:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 12:24

Bienvenue Marion :smile: :heart:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 12:33

Marci marci ! :youpi:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 18:03

Je te VALIDE !
Bon jeu parmi nous Very Happy

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitimeMar 14 Juin - 18:05

Thanks ! :yeah:

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MessageSujet: Re: Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible." Icon_minitime


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Lily-Rose. "Le pragmatisme c'est cessé de croire qu'un bonheur est possible."

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