Nom et prénom(s) : Woodsen, Joyce Sunday.
Date et lieu de naissance : 19 février 1989 (22ans)
Lieu d'habitation : Londres.
Statut civil : célibataire
Orientation sexuelle : bisexuel
Caractère : fragile, amusante, souriante, attentionnée, aguicheuse, ronchon, jalouse.

« No woman, no cry.. » chantait Elisabeth appelé plus ouvertement, Beth. Elle chantait Bob Marley parce qu’à ses yeux, il était un dieu, le roi de la paix, celui qui nous ouvrait clairement les yeux, celui qui égalisait le joint rien qu’en une mélodie. Elle chantait, no woman no cry, à chaque fois que sa fille se mettait à pleurer. Elle la prenait dans ses bras en la berçant doucement. L’odeur de l’ansant dans les narines, elle la relaxait, et lui apprenait dès sa naissance à rester calme, en de bonne circonstance. Non, elle ne voulait pas s’énerver, à quoi bon ? Cela ne résout rien. Elle préférait agir comme on le lui avait apprit.

« aout, 1992. Street of London. »
Il l’avait frappé, il l’avait frappé parce qu’il avait trop bus. Elle avait toujours été contre l’alcool, surtout vis-à-vis de la réaction que Gabriel avait, il réagissait mal face à l’alcool. Après avoir atteint le taux d’alcool surélevé, il devenait violent. Elle n’aurait jamais crus faire ça un jour, mais pourtant, elle l’a fait. Et cela a surement été la meilleure décision depuis ses six dernières années. Il l’avait toujours frappé, mais cette fois ça avait été beaucoup plus grave, c’est pourquoi elle est partie sans rien, hors mi son enfant, son trésor, celle qui lui redonnait goût à la vie, celle pour qui elle vivait encore. Malheureusement, elle ne vivrait de rien, c’est pourquoi elle est allée chez sa sœur durant quelques temps.

« Juillet, 1998. Veronica’s house »
« Promets-moi de toujours veillé sur elle. », la sœur de Beth, Veronica, la regardait les larmes aux yeux, et se retenait de toute ses forces pour ne pas pleurer. Elle se mordait les lèvres, avant de finir par fermer la porte de l’ambulance. « Promis. » elle prit sa main à travers la fenêtre qui était ouverte pour l’embrasser, puis se mit à trembler et rangea ses mains en les croisant sous sa poitrine. Elle la regardait s’en aller, pendant que Joyce jouait avec sa fille Billy. Le soir, elle avait cuisiné pour dix. Les deux petites filles arrivèrent pour dîner, seulement Joyce tournait sa fourchette dans son assiette, ressentant le manque de la présence de sa mère. Le besoin de la voir, de l’embrasser, de se blottir dans ses bras. « Est-ce qu’elle va revenir.. ? », Veronica voulait éviter le sujet, mais elle posa sa main sur celle de la petite blonde dont la mine lui donnait envie de pleurer. « Tu la reverras ta maman, et elle sera toujours là », elle pose une main sur sa poitrine « dans ton cœur. ».

« Septembre, 2004. Hight scool. »
L’herbe était verte, tellement verte, qu’elle en attirait Joyce. Elle s’y installa en tailleur, et posa son sac sur le coté. Quelques amis suivirent, et déjà à cette âge là, Joyce savait ce qu’était un joint. Elle y avait déjà goûter. Elle savait faire la différence entre de la weed et du shit, entre la haute qualité et de la basse. Elle savait à qui il fallait qu’elle se réfère. Et pourtant, elle n’avait que quinze ans. Mais quand elle a sut que sa mère l’avait quitté, elle a finit par décider de vivre, comme sa mère lui avait toujours dit. « Tu sais ma fille, tant que tu n’auras pas profiter de la vie à fond, tu ne sauras jamais ce que c’est de vivre. ».

« Juillet, 2011. Aloa Liberta. »
Elle a finit ses études. Elle a mené sa vie comme elle aurait toujours dû le faire, et c’est « no woman, no cry » qui hante sa tête à chaque fois qu’elle a un coup de blouse. Ecouter cette chanson, lui rappelle sa mère, lui rappelle son passé, son enfance, et tout ce qu’elle a tant aimer. Elle sait ce qu’elle représente entre elles deux. Elle était, petite, celle qu’elle est aujourd’hui, mais beaucoup trop renfermé pour être enfin celle qu’elle était vraiment. Elle fume, pour se détendre. Elle sait que sa chambre est un squate, rentre qui veut y rentrer, elle n’y voit aucun inconvénient, tout ses amis y sont le bienvenue. Elle ne se prend pas la tête, et cherche à vivre la vie à fond, rendre sa mère heureuse, tout là haut.

Bonjour, ici le capitaine de ce bateau, mais vous pouvez m'appeler capitaine Valdore. Aujourd'hui est un grand jour, nous entamons une croisière à travers le monde et sans limitation de durée ! Voici ma première question, pourquoi avoir embarqué à bord de l'Aloa Liberta ?
Pourquoi pas ? Après tout. Non, sincèrement, si j'ai embarqué c'est parce que j'avais envie d'un bon bol d'air, je voulait pouvoir marché sur l'eau, peut-être que c'est ça, puisque dans un certain sens, c'est ça.

Quel pays aimeriez-vous visiter ? Et puis-je savoir pour quelles raisons ?
J'aimerais beaucoup aller en Jamaïque, histoire de voir d'où vient Bobby. C'est vrai, c'est une vrai légende, j'aimerais voir d'où il vient, comment s'est, qu'est-ce qui l'a pousser à écrire toute ses chansons, pourquoi pas passer des soirées à fumer, en écoutant du reggae, mais là où ça en vaut vraiment la peine. Sinon, j'aimerais bien visiter l'australie aussi. J'aime bien les kangourous. (a)

Si vous ne pouvez emmener qu'un seul objet sur une île déserte, lequel serait-il ?
Mon collier. ( avec la photo de ma maman dans la petite boite.

Maintenant, que je connais toutes les raisons qui vous ont poussés à embarquer sur l'Aloa Liberta, puis-je me permettre de vous poser quelques questions un peu plus.. comment dire, personnelles ? Excusez ma curiosité mais je me dois de connaître chaque voyageur qui met le pied sur mon bateau. Votre soirée, vous la passez à jouer au casino, à danser à la discothèque ou non loin du bar ?
J'aime pas jouer, je trouve ça.. inutile. Si tu gagnes, tu vas vouloir continuer et viser plus haut, sauf qu'ensuite tu t'ramasses, alors à quoi bon ? Ensuite, la discothèque, yeep c'est pour moi ! J'aime m'amuser et surtout en compagnie de mes amis.

Un de vos buts principaux en venant ici, est-ce de faire de nouvelles rencontres, de trouver le grand amour ou d'ajouter de nouvelles conquêtes à votre liste ?
Les trois à la fois, ça vous va ?